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LIVRES, DISTRIBUTION ET ILLUSTRATION

La jeune société LazerSoda a eu le privilège de gagner la confiance de la fondation Varegana Pravda de Novogrod pour illustrer et vérifier l'intégralité des textes français et anglais d'Orland Opal en vue de leur traduction et distribution via Ebook.

Voici quelques-uns des ouvrages de cet auteur de l'ombre que LazerSoda a à coeur de faire partager dans un encore plus large projet:

Guerres Sources et Maudits
1957-1976
Le secret des Sources tiendrait-il dans une goutte d'eau? 
Des cartes à tout-va, aux sens multiples et aux bannières symboliques. Un monde d'ignorants fasciné par un pays aveugle et qui cherche à la fois à s'unir et à s'autodétruire. De la rage, de la frustration, de l'envie, de la jalousie et pourtant ces guerriers de toutes parts auraient dû oublier leurs querelles misérables pour tenter de savoir comment leurs royaumes entourés de nuits éternelles avaient pu éclore. Le savoir des Sources rend fou, sorcier ou puissant tyran jusque à ce que l'âme soit maudite.
Est-ce qu'une âme seule ou même une guilde de merveilleux peut en percer les mystères magiques et mathématiques? La chevalière du Chêne ne s'en pose pas la question et fonce, la vingt-septième lame d'Alifermès dormant en sa sinistre main, vers à la fois sa perte et les secrets originels de tous les clans et de toutes ses malédictions.
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Rurik ne savait pas
1955
Par le biais d’une famille écl
atée puis dispersée pour plusieurs raisons: passions, divergences politiques, désir de réussite, liens fraternels et influences spirituelles; l’auteur traverse les 89 régions de la Russie avec beaucoup d’humour, d’ironie et de romance. Il s’y rend tant en profondeur que ses protagonistes feront la lumière sur les figures ésotériques qui ont marqué dans l’ombre le vingtième siècle de ce pays. Entre maitreyas du KGB, réincarnations du Christ, théoriciens d'un univers organique, chamans mongols, anciens bolcheviks qui retournent regretter Raspoutine ou encore maçons sur la voie d’Helena Petrovna Blavatsky et même soufistes tadjiks fans de Nostradamus dont la Mecque est à Samarkand, il case un visage unique et fantastique des mille-deux-cents années de son pays natal jusque l’année de celui qui aurait donné son nom à la Russie: Rurik.

 
Asaghanda
1980
En un jour ensoleillé de plein été, trois prise d’otages ont lieu simultanément à Berlin. L’un dans un conseil d’administration, l’autre dans un mariage boer célébré à l’église et le troisième dans les sous-sols de la toute nouvelle triade esclavagiste implantée. Les trois instigateurs aux parcours différents ont tous déclenché leur plan: bailloner tout le monde et menacer de tout faire sauter, en vue de mettre la main sur le plus grand secret entre l’armée communiste et l’armée nazi. L’un prétend être musulman converti et s’élever contre le monde des intérêts financiers tout en rappelant le lien mystique entre les farcis, les turcs et les allemands. L’autre se prétend un amoureux passionné d’une femme qu’il déïfie et qui dit ne se rappeler que vaguement de lui, il vide les poches du gratin présent en défendant que l’église et les familles n’ont plus leur place dans les décisions de coeur. Et le troisième débarque en bon samaritain chrétien qui vient délivrer de pauvres immigrés; des exploités d’une pègre sans pitié aux ramifications internationales, qu'il maltraitera autant que les malfrats pour, dit-il, leur propre salut.
Le diapason des sourds dingues
1985
L'auteur y décrit les premiers backpackers quand le tourisme de masse commença à faire rage. Des fortes têtes se retrouvent liées par leur honnêteté et leur aversion des sentiers battus, commençant par fabuler sur les histoires des meilleures arnaques du monde. Ils trouvent dans le détournement d’argent une justice qui leur fait défaut quand le personnage principal est en train de mettre en tête à chacun qu’ils sont ici à l’opposé du paradis et qu’ils doivent le rétablir mètre carré par mètre carré autour d’eux. L’auteur dépeint, par les échecs répétés de ces rêveurs sans expérience ni connaissance, une satyre impitoyable de tous les horizons sociaux, de l’Ouest à l’Est, et démontre sur le fil comment, pour un individu comme pour une nation ou une mafia, peuvent se conjuguer mortellement les défauts.
L'élémentaire réfractaire
1946
Comment faire des sciences une religion? En maniant mystiquement philosophie et langues pour matraquer de propagande.
Commençant par nous expliquer que ''religaré'' et ''guions'' signifient en latin relier et guides, Orland Opal fait l'apologie de penseurs spirituels et scientifiques de toutes les communautés, tels que René Génon et Henry Pointcarré pour les français afin de rappeler que tout le monothéisme et même l'athéisme existencialiste naissant indiquent des guides ou précurseurs prédestinés.
Les scientifiques n'en deviennent pas des prophètes mais des découvreurs, plus ou moins éclairés, qui doivent faire la part belle à l'humilité. Après avoir parlé de particules élémentaires rebèles, de réfractation de la lumière et de relativité du temps inversée si existaient de supposées ondes gravitationelles, il développe le désentropisme qui tend à expliquer que le désordre de plus en plus complexe, qui se produit dans le temps par causalité, diminue aussi par rapport à la complexité des données passées qui ne cessent de fusionner: ''Deux faux chaos se croisent dans le temps, sous nos yeux, pour former l'harmonie''. En affublant les variables et les algorithmes d'augures visibles, il démystifie les derniers mages comme Papus et Raspoutine en les liant adroitement à l'univers quantique; une science des dimensions dont toujours l'homme ne connaitra qu'une infime partie, il lie habilement les travaux de Maxwell et de Tesla à la possibilité d'univers futur et passé qui auraient la saveur d'un Tolkien. Il initie le lecteur au jeux quantiques des fréquences et des spectres en usant des portes que sont les sens et les rêves puis se sert de cet enseignement à la limite du chamanisme et du religieux pour rompre tous clivages entre ce qu'aujourd'hui nous appelons créationnisme et évolutionnisme. Il fascine par ailleurs avec son analyse nourrie de factuel au sujet des grands mystères d'orient et des événements du siècle.
L’horloge des langages
1949
Seulement réédité en thamoul et en sanskrit, ce livre retrace les connivences entre les langages, leurs évolutions géographiques et temporelles en spirale, et il refuse la désignation discriminatoire de proto-langage. Ses personnages sont ici des équations et des calculs (dont il reprendra le concept de manière plus subtile dans "Guerres, Sources et maudits" au travers de la chimie et d’une fausse numérologie) qui cherchent à se renseigner sur les origines des injures qu’ont leur porta quand ils firent découverts et partagés par de grands savants. Il y livre aussi un mini dictionnaire vernaculaire qui prend les alphabets thamoul, sanskrit, français et germaniques à l'envers en les liant dans une alchimie et des définitions stupéfiantes. D’après la critique indienne, il y a mêlé syncrétisme et synchronicité, absurde et rationalisme avec un cynisme déroutant.
June Pacifica
1987
Bien plus qu’homme de son temps, Orland Opal a toujours cherché l’avant-garde et dans ce roman de science-fiction, il prophétise tout le vingt et unième siècle au travers d’une conférence qu’il aurait sûrement aimé tenir au XXIIème siècle. Aussi met-il en lice une très jeune top modèle qui serait partie de Californie en 1988 sur un yacht dérivant (à l’époque futuriste car fonctionnant à l’énergie solaire et au plastique qu’il ratisse). En lice et même en grande débacle sur les eaux internationales pour délivrer sur des ondes terrestres qui ne seront découvertes que des années plus tard, tous les secrets de civilisations qui maintiennent un plan en place. L’égérie en cavale devient adulte petit à petit aux yeux du monde qui reçoit ses images avec trente ans d’écart. June Pacifica le fait basculer dans de tous nouveaux paradigmes. S’en suit principalement la révélation d’endroits mystérieux où vivent, presque en captivité autour d’un puit, des personnages aussi burlesques que pleins de révélations.
L'auteur nous étaye avec d’incroyables arguments la possibilité des sciences et des technologies que nous commençons à peine à concevoir admissibles, comme la moléculisation des pensées, la régénération et la fragmentation de la mémoire et des cellules, la répartition des agglomérations selon la désalinisation et le partage éléctro-génétique, l’accès à des dimensions intermédiaires et la prise de substances trompeuses paliant à une sorte d'épigénétique surexploitée, ainsi que de manière plus classique: le voyage dans le temps par saut dimensionnel qui pour lui semble, ici, une réalité aussi indéniable que le passage de la mort. Il y reprend de manière plus simpliste et accessible ses concepts quantiques, comme celui de ‘’l’élémentaire réfractaire’’ et des ‘’objets surexposants’’ à l’oeil humain et à sa conscience, allant du quadridimensionnel mathématique à la métaphore du trône des sept cieux.
Touchant encore à la définition de l’âme, qui la possède éteinte et qui sait l’allumer, il rappelle la force vitale de toutes choses dont celles des pierres comme dans "GSM". L'histoire semble avoir été le début d’une nouvelle saga qui, par son style, ses démonstrations et l’époque choisie, pouvait repousser certaines limites de  "GSM" (Guerres Sources et Maudits).
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